Adieu Bernard Pivot, le Doyen des Lettres Françaises
Il est des nouvelles qui, même si elles sont attendues, nous frappent comme un coup de massue. C’est le cas de la mort de Bernard Pivot, l’homme qui a fait de la littérature un sport national. Guillaume Durand, directeur de l’information de Radio Classique, a déclaré : « Il était irremplaçable ». Et pour une fois, on ne peut qu’être d’accord avec lui.
Un Homme de Lettres, Un Homme de Télé
Il faut dire que Bernard Pivot était un personnage hors du commun. Il a réussi à faire de la littérature un spectacle télévisé, une prouesse que même les plus grands magiciens n’auraient pas osé tenter. Avec son émission « Apostrophes », il a réussi à faire entrer les écrivains dans les foyers français, et à faire de la lecture une activité aussi populaire que le football ou la pétanque.
- Il a interviewé les plus grands auteurs de son temps, de Marguerite Duras à Milan Kundera.
- Il a popularisé le concept de « bouillon de culture », une émission où les intellectuels pouvaient débattre sans craindre d’être interrompus par des publicités pour des yaourts ou des voitures.
- Il a même réussi à faire de la dictée une épreuve télévisée, avec son émission « Les Dicos d’Or ».
Un Irremplaçable, Vraiment ?
Guillaume Durand a déclaré que Bernard Pivot était irremplaçable. Et il a raison. Qui d’autre aurait pu faire de la littérature un spectacle télévisé ? Qui d’autre aurait pu faire entrer les écrivains dans les foyers français ? Qui d’autre aurait pu faire de la dictée une épreuve télévisée ?
La réponse est simple : personne. Bernard Pivot était unique en son genre. Il avait ce don rare de rendre la littérature accessible à tous, de faire de la lecture une activité populaire. Il était le champion de la culture pour tous, le défenseur de la littérature populaire.
Un Hommage Mérité
Il est donc normal que Guillaume Durand lui rende hommage. Après tout, Bernard Pivot a marqué l’histoire de la télévision française. Il a fait de la littérature un spectacle, et il a fait de la lecture une activité populaire. Il a fait entrer les écrivains dans les foyers français, et il a fait de la dictée une épreuve télévisée.
Il était, en somme, un véritable monument de la culture française. Et comme tous les monuments, il mérite d’être honoré. Alors, rendons hommage à Bernard Pivot, l’homme qui a fait de la littérature un spectacle, et qui a fait de la lecture une activité populaire. Il nous manquera, c’est certain. Mais son héritage perdurera, et c’est là le plus bel hommage que nous puissions lui rendre.
Et Maintenant, Qui Pour Prendre la Relève ?
La question qui se pose maintenant est la suivante : qui pour prendre la relève de Bernard Pivot ? Qui pour faire de la littérature un spectacle télévisé ? Qui pour faire entrer les écrivains dans les foyers français ? Qui pour faire de la dictée une épreuve télévisée ?
La réponse est simple : personne. Bernard Pivot était unique en son genre. Il était irremplaçable. Et c’est là tout le drame de sa disparition : il laisse derrière lui un vide immense, que personne ne pourra combler.
Alors, rendons hommage à Bernard Pivot, l’homme qui a fait de la littérature un spectacle, et qui a fait de la lecture une activité populaire. Il nous manquera, c’est certain. Mais son héritage perdurera, et c’est là le plus bel hommage que nous puissions lui rendre.