Jean-Michel Ribes (auteur et réalisateur): « Bernard Pivot était un interviewer à hauteur des écrivains qu’il interviewait »

Quand Jean-Michel Ribes fait l’éloge de Bernard Pivot

Il semblerait que Jean-Michel Ribes, auteur et réalisateur français, ait trouvé en Bernard Pivot, un interviewer à la hauteur des écrivains qu’il interviewait. Un compliment qui, venant de Ribes, est aussi rare qu’un politicien qui tient ses promesses. Alors, qu’est-ce qui fait de Pivot un interviewer d’exception selon Ribes ?

Un interviewer à la hauteur des écrivains

Si vous demandez à Ribes ce qui fait un bon interviewer, il vous dira probablement que c’est quelqu’un qui sait poser les bonnes questions. Et selon lui, Pivot était un maître en la matière. Il avait cette capacité à poser des questions qui faisaient réfléchir les écrivains, qui les poussaient à se dévoiler, à partager leurs pensées les plus profondes. Un talent rare, qui fait de Pivot un interviewer d’exception.

Un respect pour les écrivains

Il n’est pas rare de voir des interviewers qui cherchent à piéger leurs invités, à les mettre mal à l’aise pour obtenir des réponses sensationnelles. Mais Pivot, lui, avait un respect profond pour les écrivains qu’il interviewait. Il les traitait avec égard, les écoutait attentivement et leur donnait l’occasion de s’exprimer pleinement. Un respect qui, selon Ribes, est essentiel pour être un bon interviewer.

Une passion pour la littérature

Enfin, Ribes souligne la passion de Pivot pour la littérature. Un amour des mots et des histoires qui transparaissait dans chacune de ses interviews. Pivot n’était pas seulement un interviewer, il était aussi un amoureux de la littérature. Et cette passion, selon Ribes, est ce qui faisait de lui un interviewer à la hauteur des écrivains qu’il interviewait.

Les perles de Pivot

Et pour illustrer ses propos, Ribes nous a partagé quelques-unes des perles de Pivot. Des moments d’interviews où Pivot a su faire briller les écrivains qu’il interviewait.

  • Quand il a demandé à Marguerite Duras ce qu’elle pensait de l’amour, et qu’elle a répondu : « L’amour, c’est beaucoup plus que l’amour ».
  • Quand il a demandé à Michel Houellebecq pourquoi il écrivait, et qu’il a répondu : « Pour ne pas mourir ».
  • Quand il a demandé à Amélie Nothomb ce qu’elle pensait de la mort, et qu’elle a répondu : « La mort, c’est la vie ».

Des moments d’interviews qui montrent bien le talent de Pivot pour poser les bonnes questions, pour faire réfléchir les écrivains, pour les pousser à se dévoiler. Des moments qui, selon Ribes, font de Pivot un interviewer à la hauteur des écrivains qu’il interviewait.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Alors, êtes-vous d’accord avec Ribes ? Pensez-vous que Pivot était un interviewer à la hauteur des écrivains qu’il interviewait ? Ou pensez-vous que Ribes exagère un peu ? Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : Pivot a marqué l’histoire de la télévision française avec ses interviews d’écrivains. Et ça, personne ne peut le nier.

Laisser un commentaire