Mort de Bernard Pivot: « Il était le seul à ne pas avoir de rival. Il surnageait au-dessus de tout le monde », souligne Alain Duhamel

Adieu Bernard Pivot, le dernier des Mohicans de la littérature

Il est des nouvelles qui, même si elles sont attendues, nous prennent par surprise. C’est le cas de la mort de Bernard Pivot, le dernier des Mohicans de la littérature française. Comme l’a souligné Alain Duhamel, « Il était le seul à ne pas avoir de rival. Il surnageait au-dessus de tout le monde ».

Un homme sans rival

Il faut dire que Bernard Pivot avait une place à part dans le paysage médiatique français. Il était le seul à pouvoir se vanter d’avoir fait lire la France pendant plus de 40 ans. Et ce, sans jamais avoir de rival. Comme le souligne Alain Duhamel, « Il surnageait au-dessus de tout le monde ».

Il faut dire que Bernard Pivot avait une place à part dans le paysage médiatique français. Il était le seul à pouvoir se vanter d’avoir fait lire la France pendant plus de 40 ans. Et ce, sans jamais avoir de rival. Comme le souligne Alain Duhamel, « Il surnageait au-dessus de tout le monde ».

Un homme de lettres

Il faut dire que Bernard Pivot avait une place à part dans le paysage médiatique français. Il était le seul à pouvoir se vanter d’avoir fait lire la France pendant plus de 40 ans. Et ce, sans jamais avoir de rival. Comme le souligne Alain Duhamel, « Il surnageait au-dessus de tout le monde ».

  • Il a animé l’émission « Apostrophes » pendant 15 ans, de 1975 à 1990. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.
  • Il a ensuite animé « Bouillon de culture » pendant 10 ans, de 1991 à 2001. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.
  • Il a enfin animé « Double je » pendant 5 ans, de 2002 à 2007. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.

Un homme de lettres

Il faut dire que Bernard Pivot avait une place à part dans le paysage médiatique français. Il était le seul à pouvoir se vanter d’avoir fait lire la France pendant plus de 40 ans. Et ce, sans jamais avoir de rival. Comme le souligne Alain Duhamel, « Il surnageait au-dessus de tout le monde ».

  • Il a animé l’émission « Apostrophes » pendant 15 ans, de 1975 à 1990. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.
  • Il a ensuite animé « Bouillon de culture » pendant 10 ans, de 1991 à 2001. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.
  • Il a enfin animé « Double je » pendant 5 ans, de 2002 à 2007. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.

Un homme de lettres

Il faut dire que Bernard Pivot avait une place à part dans le paysage médiatique français. Il était le seul à pouvoir se vanter d’avoir fait lire la France pendant plus de 40 ans. Et ce, sans jamais avoir de rival. Comme le souligne Alain Duhamel, « Il surnageait au-dessus de tout le monde ».

  • Il a animé l’émission « Apostrophes » pendant 15 ans, de 1975 à 1990. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.
  • Il a ensuite animé « Bouillon de culture » pendant 10 ans, de 1991 à 2001. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.
  • Il a enfin animé « Double je » pendant 5 ans, de 2002 à 2007. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.

Un homme de lettres

Il faut dire que Bernard Pivot avait une place à part dans le paysage médiatique français. Il était le seul à pouvoir se vanter d’avoir fait lire la France pendant plus de 40 ans. Et ce, sans jamais avoir de rival. Comme le souligne Alain Duhamel, « Il surnageait au-dessus de tout le monde ».

  • Il a animé l’émission « Apostrophes » pendant 15 ans, de 1975 à 1990. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.
  • Il a ensuite animé « Bouillon de culture » pendant 10 ans, de 1991 à 2001. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.
  • Il a enfin animé « Double je » pendant 5 ans, de 2002 à 2007. Une émission qui a marqué l’histoire de la télévision française.

Laisser un commentaire